Rhône
Château Pesquié - Ventoux - Terrasses - Rouge - 2013
Caractéristiques
Pays/Région : Rhône
Millésime : 2013
Dénomination : AOP Ventoux
Cépage : 70% Grenache, 30% Syrah (avec quelques traces de Carignan et de Cinsault)
Alcool : 14 % vol.
Couleur : Rouge
Contenance : 75 cl
Récompenses
Domaine noté 2 étoiles dans le Guide Bettane et Desseauve 2015
Cuvée notée 15,5/20 par notre comité de dégustation!
91/100 Robert Parker
Vin :
Déconcertant d’équilibre et de gourmandise, le rouge 2013 du Château Pesquié combine pureté de fruit, élégance et finesse. Nous restons admiratifs devant une telle précision : ce vin intense et riche ne vous laissera pas indifférent et vous étonnera par sa fraîcheur. Il fera la courte-échelle à des plats aussi variés que des grillades, terrines, volailles ou légumes farcis et s'associera sans complexe en début de repas avec vos planches de charcuteries !Vinification :
Vendanges manuelles, élevage pour 30% de la production en barriques (âgées de 3 à 4 ans) ou en foudres pendant environ 6 mois.Robe :
Robe rubis sombre.Nez :
Nez très mûr sur des notes de cerise et de mûre sauvage mêlées à des touches d'épices.Bouche :
Bouche fraiche et équilibrée entre un fruit baigné de minéralité et une matière ample. C'est une cuvée empreinte de finesse, sur le fruit, qui ravira par son profil digeste et gourmand.
Température :
A servir entre 16 et 18°C.Accord mets et vin :
Charcuteries, crépinettes de lapin, escalope de veau à la milanaise, estouffade de bœuf à la provençale.Garde :
Dès maintenant et jusqu'en 2024Assurément l'un des favoris de notre Comité, Château Pesquié produit, dans un style passionnant, des vins affolants de fruit, à la chair tendre et pulpeuse, auxquels on peut difficilement résister. Ses terroirs d’altitude de premier ordre, profilent des textures adroitement ciselées, dignes de la plus grande dextérité de vinification. Robert Parker l’épingle d’ailleurs régulièrement dans les palmarès de ses vins préférés et gratifie chaque année cette cuvée d’un minimum de 91/100. L’assemblage 2013 suit la même cadence et nous cédons encore une fois devant une telle évidence.